Le manque, ce sentiment incontrôlable,
Le manque n'est pas provisoire, ou temporaire. Le manque, le vrai, c'est celui qui vous tient, du matin au soir, ainsi que dans vos rêves, qui vous tord le ventre, vous coupe le souffle. Le manque le vrai, est celui qui ne s'arrête jamais.
Je dois combattre le manque par les souvenirs, je dois combattre le mal par les mots. Les souvenirs ne meurent jamais.
J'aimerai pouvoir le faire ressortir de mes rêves.
Le cheval de votre vie, vous fera mal une fois.
Une seule fois.
Et c'est le jour où vous devrez le laisser partir...
C'est magnifique Julie ce que vous avez réussi à faire pour sauver votre cheval, votre courage, votre amour, votre pugnacité sont admirables. Je ne sais pas si vous consultez encore votre site. J'ai lu et relu toutes vos publications et regardé vos séquences filmées avec une intense émotion; je voulais essayer de comprendre si mon cheval pouvait s'en sortir d'une horrible fracture du radius dans la longueur; le vétérinaire était sans appel, l’opération était inenvisageable selon lui et le Dr Rossignol contacté par e-mail avec les radios était parait-il du même avis; quand je vois ce que vous avez enduré ainsi que votre cheval; je vous admire; c'est vrai que votre cheval vous aimait, ça se voit dans ses yeux, et ce combat qu'il a mené il l'a mené avec vous et pour vous. Vos compte-rendus opératoires et de suivi post opératoires sont tellement précis; merci. Il n'y a pas actuellement début 2016, des publications médicales accessibles sur internet plus complètes et plus pertinentes. Je pense que vous aurez aussi contribué à aider la médecine équine à progresser; vous aurez surtout permis à ceux qui aiment leur cheval blessé de comprendre ce par quoi il fallait faire passer leur cheval et si compte tenu de leur douleur et du type de leur fracture, il y avait une chance pour qu'il survive et qu'il guérisse. Merci, je vous souhaite de tout cœur de ne plus jamais revivre une semblable épreuve et j'espère que la médecine équine va progresser malgré le facteur poids de nos chevaux qui nous laisse encore dans l'impasse.
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